DÉS UN LOGE DANS L´ OBSCURITÉ
Guillermo
Delgado
A
Ernesto Cornejo Bouroncle
il
est parti dans un nuage
laissant son chapeau
A Clelia, sa compagne,
qui lui apportait son chapeau
laissant sa mémoire.
Dans le cadre d'un seul
poème d'exécution en effet indissociable de leurs volontés, des poèmes qui
forment le fond de ce livre.
Le talent unique de
Guillermo Delgado effectue chaque page passer devant nous comme la vie continue
comme le temps: en passant, et en contournant.
Sans un verset à l'autre va
interrompre le flux des images, des réflexions et des puzzles - de la scène
assombrie William - nous révélons la poésie à nouveau.
César Calvo.
Atteindrons me
ton bras,
Héphaïstos,
à
forger
mes mots
sur
cœur
des hommes.
Avec seulement
dure
en
vous
une
de ces versets,
à
décès
Je me sens
heureux
ils ont été
sauvés
avec notre
solitude.
Et je jure
Je dois avoir
forcer
un millier d'hommes
pour apaiser
son ironie
et le transformer en chanson.
Parce que
dans ce monde
où les nuits et les jours
fait
une
quelqu'un fouilles sur ma tombe
sans relâche.
Comme un enfant
perdu
la nuit
une forêt infinie
mes yeux
en regardant dans les yeux.
Et tes yeux,
effacer le brouillard
de l'été,
m'a informé que demain
vous serez parti,
et comment tendre est la nuit
Seal - embrasser inerte -
de celle à votre gauche.
Une nuit comme grave
comme ça
où l'âme est
instantanément
fissuration.
Une nuit, impossible
comme ça
dans lequel je
cherche Dieu
et est rejetée.
Vingt ans
amarillados
dans la mémoire,
où les images
dépenser.
Pages devenir incolore
où se trouvent
joies et les peines
main généreuse
personnes
dont la bonté résiste
ingratitude
et le temps.
Après l'absence
aimer
résultats
à débordement
leur cristal
et
nouveau
toujours
est midi
dans nos cœurs.
Bate peuplier
peureux
de son indiscrétion
laisse
apaisement
tranquillement
perfide
le baiser des amoureux.
À partir de
le dernier port
patte
tous les jours
le même bateau
solitaire
dans votre eau
sombre.
La forêt
sans fin
pousses d'arbres
feuilles de
germination.
Feuille
vide
ressorts silence
versets qui poussent.
Parmi les arbres
tatoué
nuit après nuit
vous attendez
l'étranger
sans le savoir
ou où
vous êtes venus
l'amour.
Vous devenez comme
les morts
qui recueillent leurs
mesures
et quelqu'un
nouvellement
s'écria-t-elle
silencieux
sur mes chaussures.
Chaque soir,
chaque jour,
tous les soirs ...
ici dans ma tombe
Je serai
tous
l'air que vous respirez.
Roceé engourdissement
ce silence, le vent
Pluie laisser son souffle
Je lame atenazan.
Êtes-vous en, vous passez
sans cesse des ouragans.
À un moment donné
visages
infini
vinrent les mots.
Les rampes de voix
maintenant
dans son abîme
être imperceptible
à souvenirs.
RETABLE
J'ai rêvé d'une lumière étroite, sombre,
et enfin
un troupeau de moines blancs
porté sur leurs épaules
l'immense cercueil
d'enterrement prématuré,
aussi.
Si vous avez regardé les visages
de ces cénobites
faim
La vie, pâle, à distance
yeux ensevelis;
ou si seulement vous avez regardé
amers les étoiles rayonnantes
barbe sombre et malodorante ...
Une chanson étrange
absorbe heures
en passant, sommeil
le cimetière vide
le remplissage de la méchante fois
d'un Dieu attendu
par n'importe qui.
Je m'agenouille dans l'ombre
et d'écouter, sur mes lèvres, une
prière si légère
comme toujours
retourner
des écume dans les vagues absents ...
BAS-RELIEF
La mer entre nous
et
après
valeur en
vieillissant
et la routine
la rose et flétri
votre visage dans tes
mains
amis qui étaient
la nuit
la nuit
sans le savoir
port qui échoue
et nos voix
le vent ...
(Qu'est-ce alouette,
confus
dans les métiers,
revient aux cultures
à la recherche d'
reste
et rêve d'un bizutage de corneille
et se réveille
pas d'yeux?)
La mer entre nous
et alors
la mer.
parmi nous
que ne cesset pas…
CONTRECHANT
Guillermo Delgado
GABRIELLE
EDITEURS
---000---
Guillermo Delgado, poète et
narrateur. A réalisé études dans la Pontifical Université Catholique du Pérou, et
dans la Université Particulier Inca Garcilaso de la Vega. Actuellement dirige
le Centre de Investigation de la “Association Profesionel de Investigation en Sciences Sociales” (APICS)
et codirige “Gabrielle Editeurs”. Antérieurement a publié “Dès un Loge dans
L´Obscurité” (poésie. Gabrielle Editeurs, 1991) et “Résumés de Œuvres Fameux”
(Collection de 4 volumes que déjà avait atteindré la quinzième édition).
---000---
CONTRECHANT
---000---
C GUILLERMO DELGADO -
December 1993
GABRIELLE
Édition
droits: EDITEURS
Télephone
: 624559
Soigné de edition : Martha
Isarra
Masque et illustrations
intériereures: José Lucano
---000---
Pour toi, Gabrielle,
ce Contrechant
qui est le envers
du amour et de la vie.
Sur la terre, comme
en le ciel....
et
en mon coeur pour toujours.
---000---
PROLOGUE
Pendant mon années deportif de vite
adolescent Je fus un bon amateur au football. Je concourt sans faute au tribune
sud du Stade National, adossé comme est
naturel, à Alianza Lima. J´allais à voir les figurines de mes bien-aimés
héros de ces temps. Je ne imaginai pas que plus tard, avec le passé du années, Je lier d´amitié avec
l´enfant de Guillermo Delgado, cet extraodinaire défense-central du Alianza,
plus connu en le terrain de jeux selon que “ le lion du José Díaz” (“pour les
vaillants et nuisibles / quel lion”). De ces temps ont resté en mon mémoire,
comme foullié en bronze, les mémorables duels entre Guillermo Delgado et
Alberto Terry, duel d´or que la herbe rappeller et que difficilement retournera
a fleurir.
Guillermo Delgado - fils, est aussi un faiseur de figures,
comme son père, seul qui quel broder les en la pelouse, et ce-ci jeune poét les
burine en la page en blanche. Bien formé et informé, comme peu poetes des dernier promotions. Se la passe nervouse et
agité entre livres. Est editeur et promoteur. Grant lecteur du clasiques et
obstiner conneur de la préceptif littéraire et du rigor métrique. Cesar Calvo a
donné déjà le play du honneur à sa
poésie lumineux, prologant avec œil aigu
son livre Dés un loge dans l´obscurité.
Maintenant, Guillermo, agile
et imprévu, intime et germinal, retourne a émouvoir nous, avec cé nouvelle
remise poétique, livre que avive mon enthousiasme, qoique un peu envieux de sa
jeunesse et du haleine fécond de sa fantaisie.
ARTURO CORCUERA
---000---
“ Notre feu terrestre,
soient quel soient sa furie et sa étendue, a toujours une zone limité; mais le
lac de feu du enfer n´a pas de limites, ni plages, ni fond. Ont dit que une
fois le même diable, questionné pour certain soldat, il se vu obligé à avouer
que si toute une montagne fût lancé dans quel océan bouillant serait consumé en
un instant comme un morceau de cire. Ce terrible feu n´affligé pas las âmes du
comdamnés seulement pour hors, sinon que chaque âme sera un enfer dans si même,
embrasé pour quel feu dévorateur en ses même centres vitals. ¡Oh, quand
terrible es la sort de quelles misérables étres! Le sang grouillé et bouillié
dans leurs veins, les cervelles se embrassé dans le cráne, le coeur se les
brùlement dans le poitrine comme une braise, leurs intestins sont une masse
rougeâtre d´ardent pulpe, leurs tendre yeux flamber comme globes incandescents”
James Joyce
“ Portrait du artist
adolescent”
(page 9)
---000---
Pourquoi la vie puis de tout
n´est pas plus q´un aller et
venir,
un contrechant
de douleur et d´espoir.
(Page
11)
---000---
PRECHANT
---000---
Aujourd´hui
J´ai retourné à renaitre
des cendres
en la quoi m´abattu
l´indifférence
des hommes
quand
sonna mon pleur;
et J´ai retourné à sentir
la froide solitude de ce
murs
entre les mies de mon pain.
(Page
15)
---000---
J´ne
recontre pas chemin plus beau,
digne et supportable
pour exprimer mon sentir
que les mots.
Parce-que mon verse pousse
de la mot simple
de fleur en fleur
de branche en branche
de feuille en feuille.
(Page 16)
---000---
Questionner voulait la lune
du pourquoi de mon silence,
du candide rire
de un moment de tard
au arriver de le soir,
oscille la vie, éprise,
entre le vouloir
et le ne pouvoir pas.
(Page 17)
---000---
La nostalgie m´ai amené
maintenant que déjà tu es
mort
puanteur
poussiére
oubli,
Et
Je tant seul
pour
toi
silence
absence
rien.
(Page 18)
---000---
Surgit une voix
irrité
entre la pierre,
et le homme enfonca
son main dans la terre
et se emplit de vie.
(Page 21)
---000---
Le temps, le temps, le
temps.
Bonheur
eternelle
des
homme primitif
sans
temps, et sans angoisse.
(Page
22)
---000---
CHANT
---000---
Je
m´accroche à tes bras
cherchant
aveuglette
le froid de la mort.
J´aspire
profondment
entre
tes seins,
et
placidement
J´me
laisse tomber
sur la terre.
(Page 25)
---000---
S´avoisine un ouragan,
aqueux;
passion irréfrénable
que en ta corps
coupe de plein.
Je liche, hume, aspire,
sents,
la puanteur d´un corps
remuert
qui excite les sens.
Toi, te secoues,
contractes,
t´ébranles,
plies et te desplies
tandis que t´allongés
en mille formes.
(Page 26)
---000---
Instant la tiene
où
ta soma
paraits
attentive
à l´attaque
d´mille hommes
qu´en mon esprit te possént.
Griffes
de fauve
ont
maitenant
les
doux mains,
autrefois
pour ta corps
tant
aimées.
Racheté
et devorét
Je
gémi, hurle, souffle, cri...
donc
dèjá arrive l´ouragan
qu´en ta corps
coups de plein.
(Page 31)
---000---
Lorsque Je te vois secoue
pour un tremble interminable
mes yeux se perdrent
en un gémissement profond
que nous endormisons.
(Page 32)
---000---
Il y a un temps pour espérer
un temps pour dire excuse
moi.
Il y a un temps pour l´amour
un temps pour le silence.
Il y a une part de toi et de
moi
que laisse à un côté le silence
que
s´adonna à l´amour
et
s´oublit du temps.
(Page 33)
---000---
Parfois Je voulai
perdre te en mon silence;
Enfermer te dans un livre
déjà lu;
sculpter nòtres âmes
dans un verse;
Profaner
mon solitude
(aimé
et beau)
tant seule un moment
et
qui vivais dans elle
reflété
pour toujours.
(Page 34)
---000---
Affleure en mon verbe
un chant céleste;
solitaire.
Et
dans lui arriver ta voix,
ta
voix qui dèjá est douleur;
oubli.
Gésissent
rigides, gésissent morts
les
antiques olivaies;
restent.
Verd
saule, encore ici
dans
mes pupilles;
larmes.
Toi femme, moi un enfant
mais
plus pust le souhait;
passion.
Toi,
te oublies rappeler
oublies
te de m´amour;
plainte.
(Page
35)
---000---
Dans
le feuillage des peupliers
te
ont d´arriver les gémissements
d´un enfant
que est la négation de Dieu.
(Page 36)
---000---
Comme avoir un monde
entre les nuages,
beau
et profond
pour
moi pouvoir te aimer,
rendre me à tes caresses
pendant que tu montes
et la soir esperer
pour moi t´adorer
Comme avoir otre fois
la jeunesse perdue,
impeteuex, fébrile,
la gaieté du enfant,
la
forteresse du homme sans blessure,
sans le froid coeur que le
poitrine ceindre.
(Page 37)
---000---
Quand tu fuies de mon côté
semble que tu oublies
que sans toi...
Je ne serai pas rien.
(Page
38)
---000---
Comme
un bout de cirge
qui
agonise en la nuit
mon
amour s´allé étraindant
peu à peu en silence,
doux brise, triste réveiller
que va annonciant,
ombres cachées d´espoir.
(Page 39)
---000---
J´ai
vu passer l´amour
en les ailes d´une mouette.
(Page 40)
---000---
CONTRECHANT
---000---
Trois clous...
la sang éclata en ire
et humecta la terre.
Un cri horrible irrita
les ciels
et flétissa le oleiveil;
Onze
brevis retournant au bercall;
une....se resta dans le
homme.
(Page 43)
---000---
Si avec une regard de tien
Je poux étre heureux
n´me ôter pas la gaieté
de
vivre dans elle
pour
toujours.
(Page
44)
---000---
Il y a un étre que s´écume
dans la mer de ta corps
et
qui m´espere.
Chair
ou poussière
feu ou cendre
dans le fleuve Je vais.
(Page 45)
---000---
La rose rouge qui dans ta
bouche paraît
en vol est de papillon en fuite,
pétale pourpre à mon langue
prend
quel humide cristal, quel
grappe de raissin.
Freine ton impétuosité
battan de cloche fâché
que dans mon bouche gésir un
ardent amant,
cruel, paladin, pégase ailé,
port, figure, flamme
luirant.
Feu de ta feu Je suis
maintenant et,
aù rictus arrogant de ta
bouche,
Je sentis que mon corps
s´ébranle
donc est n´moi quel tes
lèvres touches
- flétris le âme quel tes
lèvres baise-
ni cristal ni raisin
seulement amour te donnai.
(Page 46)
---000---
Seulement Je te demande
mentir le à mon coeur
un fois plus.
Dis le que est tard
qui quelqu´un te esperer
qui tu avez que aller te
que retourneras demain.
Je sais qui lui entrendra
pourquoi toi, te as allé...
encore Je sache dans le fond
que tu ne retourneras pas.
(Page 49)
---000---
Dèjá vais arrivant à où tu
me laisses
partant vais de où toi te as
allé
pleurs, douleur, misère,
oubli,
la même chose est, si toi de
moi te éloignes.
(Page 50)
---000---
Parceque le que il y a
parmi toi et moi...
sera toujours
le repentence
puis du péché.
(Page 51)
---000---
Le amour en toi
est comme une hostie,
insipide et inerte.
(Page 52)
---000---
Ta amour est la rose
que de matin en matin
va étaindrant sa rire
va opaquant sa chant.
Triste destin
quel de t´amour et la rose
quand
perdent leur charme.
(Page
53)
---000---
Quand Je vois moi en face le
glace
fiétrir me peu en peu,
ma
âme soufrit, ma peine grandit,
et Je ne peux pas oublié que
toi me as aimé.
Parfois vague entre l´ombre
d´une rue incertain
et
Je a peur,
Je
m´accouprir dans un coin
cherchant
le chaleur
que toi nier me, et ainsi,
désespéré et seul
Je retourne à la maison
et
mon espoir comme hier
est
désert.
(Page 54)
---000---
Jusque quand J´ai de feigne
que Je suis serain,
et qui entour de toi toute
est bleu,
que toute est lumière,
que rien me préoccupe.
dérober cette amertume,
cette tristesse,
le néfaste odour d´un venin
qui en mon sang niche
annoncent me la mort.
(Page 55)
---000---
Seulement J´éspere
qui la mort aéré,
souffrit la déroute
qui tu as de donner elle
pour avoir m´emporté
de tes bras.
(Page
56)
---000---
Comme
cadavre non inhume
mon
corps se résiste
à non vivre.
Dur prix J´ai de payer
pour
un amour:
sourire
facile, visage flateur,
faible
d´âme, pervers,
traitre.
Pour enterrer mon grande
amour
Je te donnerai un peu plus
que un funéraille.
(Page 59)
---000---
Si J´eusse su
que t´amour était
comme quel de les matelots,
de quelles que de jour à
jour
changent
de noms
comme
leur nefs de port.
(Page
60)
---000---
Il y a une forme tant simple,
labial,
de dire ¡Je t´aime!
Que m´atterre.
(Page 61)
---000---
Et moi qui vécus pensant
que l´amour est beau
que existent les amis
que les hommes étaient bons
qui tu étais la rose
que un fois J´aimai.
(Page
62)
---000---
J´eusse
voulou éternizer me
dans
toi regard pour
toute
la vie,
J´eusse voulou gémir
entre tes bras
comme toujours,
J´eusse voulou
fondre mon os avec les
tiennes
et me railler de la mort;
J´eusse
J´eusse
J´eusse;
mille
fois J´eusse....
mais dans le silence tienne
et de cette nuit
se me a allé la vie
dans tu regard.
(Page 63)
---000---
LA
MAISON SEUL
Triste ta mine, opaque ta
regard,
la maison vide gésir seul
sans nos, les même
de la demeure solitaire
que ajourd´hui nos
laissions.
Voisin de ma tristesse est
la tien
accusier persistant
de ce-ci coeur de pierre
endolorie
qui t´adore
et à quel ombre enivrante
est un enfant qui
aujourd´hui
te voit avec gaieté.
(Page 64)
---000---
PASTORAL
---000---
CHANSON
POUR TOI
Si mourait la rose
qui avec chaud baisers
semerrait en tes levres.
Si oublirait un jour
quel
baiser regretté
pour
donner le à autre homme
l´amour
qui fait mien.
Noyerais
pour toujours
le desire insistant
de recherche te et dis te
que l´amour es toi.
(Page
67)
---000---
CHANT D´ALOUETTE
Ne
me dis pas adieu,
qu´une
alouette
avec
l´aile blessée
se loga sur ma épaule
et très doucement,
sans hâte...
me présagera qui toi me
laissais.
(Page
68)
---000---
CHANSON DU VAGABOND
Lances
ta message aù vent.
Il navigue sur les mers
sans voilier;
s´éleve parmi les sommets
anxieux;
il féconde les champs
sans semences.
Est la voix du temps.
(Page 71)
---000---
CHANSON
DU SOLITAIRE
Qoique seulement en sommails
tu sois mein,
et avec main adroit calme
le feu que dévore
le boue nu
que soumettre ma âme;
l´inquiétude qu´en moi
provoques
a de étrainde aù fin
en un va-et-vient sonore
de plaire; euphorie et
pleurs.
Mais ne sera pas mon chant
le quel tes ouïes arrive
plaintif
quel un pauvre mendiant
qui à son repaire traine
le corps puant qui possede.
A de etre le chant
triomphateuer
du oiseau prisonniere qui
abritera mon main
oiseau,
qui maintenant libre,
abandonne
pour toujours
le corps de sa maître.
(Page
72)
---000---
CHANSON DU PIÉTON
Marchant,
piéton,
furent
les enfants grandant.
Marchant,
piéton,
la
vie va vieilliant.
Comme
voulant lasser l´oubli
comme
voulant attirer à la sort
marches à pas lent
épurant à enjambées la vie
retardant par moments la
mort.
Passes
qui passant, peines qui vient,
rires
qui partant, pleures qui restent.
Marchant,
piéton,
marchant se va la vie,
marchant vers la mort
à la mort qui est esperant.
(Page 73)
---000---
LA
CHANSON DU CYGNE
Quand tu es seule
dans
le chemin
Je pourrai me voir dans le glace
enforcer mes lévres
humecter la herbe.
Quand tu es seule
dans le chemin
Je pourrai confier le aù
vent
qui tu fus un cygne
qui navigué dans mon corps.
(Page 74)
---000---
Quand tu es seule
dans le chemin
Je pourrai voir me dans le
glace
enfoncer mes levres
humecter la herbe
confier le aù vent
qui tu fus la mienne
qui tu fus un cygne
qui
navigué dans mon corps
qui
ouvrit ses ailes
...qui se pert dans le temp.
(Page
75)
---000---
CHANT DIVIN
De
une lyre tombe
dès mains du Dante,
se agitèront las cordes
et dîront un nom.
Se perdîrent leur notes
dans un vallée infini,
et las cordes vibrent
en la nuit allume.
Qui dirait?...J´ne se pas.
Qui
dîrent? ...Qui sait.
Non
te alarmes aime
non te inquiétes trésor,
fut peut-étre une étoile
fut peut-étre un rossignol:
ou tan seule un soupir
ou un bâillement de Dieu.
(Page
76)
---000---
CHANSON DU ROSSIGNOL
Taire
le rossignol
son trine d´aube
à pied de la fenêtre
en qui trainant Je vois
- aime mien -
ma ombre êprise.
Son
trinner mélodieux
annonce
mon présence
secret et anxier
du amour en qui suis
-
aime mien -
pris
dans ta innocence.
Grelot
emplumé
qui accouris précipité
ne retard pas ta vol
ne arrètes pas ta pas
qui J´ai arrivai par fin
-
aime mien -
a
lieu tan beau.
(Page
77)
---000---
CHANSON DU FLEURS
Toi
es iris,
œilet,
rose,
lis,
orchidée,
fuchsia,
hélianthe,
jasmin,
pollen,
étaim, couleur et calice,
la fleur, la plu beau
intronisé en moi:
un royaume de couleurs
où la humanité absent,
ne semé pas leur douleurs
autour de toi.
(Page 78)
---000---
ÉPIPHANIE
---000---
TRIXUS
Aujourd´hui tu me as dit Je
t´aime
aujuord´hui tu me as dit Je
t´aime
et aujourd´hui J´ai noyé en
silence
un soupir d´amour.
Toujours, seulement toi, ce
qui tu voulois.
Triologie d´amour
que se pert dans les ombres
de ce quatre murs
où vague nu,
sans savoir ni de où
me a arrivé ta voix.
(Page
81)
---000---
CONTRECHANT
Joints
marcher nos encore
le intervalle inachevé
du epineux sentier
que sans rumb
vient et va.
Chemin
incertain
qui
menaçant paraitre
nouvellement,
comme
si ne fût pas suffisant
le que joints nos communier
prés le calice enfantin
que se tombé de notre mains.
Joints devant la hostie
amère
que á recevoir nos épurions,
comme
traitant vainemant en ça hâte
apaiser en quelque chose
notre faute.
(Page
82)
---000---
Joints,
toujours joints,
portant
en trainant le poutre
qui joint notre vies
et que aujourd´hui,
puis de la tempéte sans
calme
que foueter notres âmes,
nos condamner à la éternelle
solitude
de
vivre joints.
Joints
nous verons
se cacher le soleil
sans espoir.
Joints
nous souvenirons
cest
que vouloir
oublier.
Joints
comme deux êtranges
nous
connâitron nos aú fin
le
visage vieilli
du
amour devant la mort.
(Page
83)
---000---
Joints,
toujours Joints,
pourquoi
nous sommes condamner
dés
toujours,
à
vivre et à mourir joints.
(Page 84)
---000---
Restera un silence
impénétrable puis ma mort,
pourquoi ma âme errant
quel jalouse Cerbère
protége mes cenders du sort
qui tu et les autres pouvoir
donner le.
Retournerai a mes enfants
comme un aveugle:
en le vent
en la mer
en l´air
en le sang des leurs,
pourquoi tu ni personne
profanent sa calme.
(Page
87)
---000---
INDEX
Prologue...................................................................................................
7
PRECHANT
Aujourd-hui
J´ai retourné à
renaitre.........................................................15
Je
ne rencontres pas chemin plus beau.....................................................16
Questioner voulut la
lune.........................................................................17
La nostalgie
m´amené...............................................................................18
Surgit une
viox.........................................................................................21
Le temps, le temps, le
temps.....................................................................22
CHANT
M´accroche
a tes bras...............................................................................25
S´avoisine
un
ouragan..............................................................................26
Quand Je te voir secousse........................................................................32
Il y a un temps pour
esperer....................................................................33
Parfois Je
voudrai....................................................................................34
Affleurer en mon
verbe...........................................................................35
Dans le feuillage des
pleupliers................................................................36
Comme avoir un monde..........................................................................37
Quand tu fuis de mon
côté.......................................................................38
Comme
un bout de cierge........................................................................39
J´ai
vu passer
l´amour..............................................................................40
CONTRECHANT
Trois
clous...............................................................................................43
Si avec une regard de
toi..........................................................................44
Il y a un étre qui se
écume........................................................................45
(page 89)
---000---
La rose rouge que en ta bouche
paraît.....................................................46
Je seulement te
demande.........................................................................49
Déjà Je vais arrivant où tu
me laisses......................................................50
Pourquoi que il y
a..................................................................................51
L´amour en
toi........................................................................................52
T´amour est la
rose..................................................................................53
Au voir me devant le
glace......................................................................54
Seule
J´espere.........................................................................................56
Comme cadavre non
inhumé..................................................................59
Si J´euse
su.............................................................................................60
Il y a une forme tan
simple......................................................................61
Et
moi qui vécut
pensant.........................................................................62
J´eusse
voulu éterniser
me......................................................................63
La
maison
seule......................................................................................64
PASTORAL
Chanson
pour
toi...................................................................................67
Chant
de alouette...................................................................................68
Chanson
du
vagabond...........................................................................71
Chanson
du
solitaire..............................................................................72
Chanson du
piéton................................................................................73
La chanson du
cygne.............................................................................74
Chant
divin...........................................................................................76
Chanson
du
rosignol.............................................................................77
Chanson
du
fleurs.................................................................................78
EPIPHANIE
Trixus....................................................................................................81
Contrechant...........................................................................................82
Restera un silence..................................................................................87
(page 90)
---000---
“Contrechant”
de
Guillermo Delgado, se fini de imprimer dans les ateliers graphiques de Editeurs
“San Marcos” R.I. 15-05828 - D. Rue
Natalio Sánchez 220 Bureau 301 - Lima Perou.
---000---
José Lucano Flores
(Trujillo, 1961) A réalise études dans la École de Beaux Arts du Cité Trujillo,
et dans la École Nationel Supérieur Autonome de Beaux Arts du Perou (ENSABAP).
En 1961 illustre “Dès un Loge dans
l´Obscurite” (Poesie) de Guillermo Delgado. En l´Œuvre de Lucano, le oniric
et le utopie terrestre se fusionnent en un univers de magiques questions de
quotidien trascendance.
---000---
T´amour
est la rose
qui
de demain en demain
va
étraindant sa rire
va
opaquant sa chante.
Triste
destin
quel
de t´amour et la rose
quand perdrent leur charme.
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